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Le premier traité pour protéger la haute mer adopté à l'ONU - 2023 Juin 19

Représentant plus de 60% des océans, les eaux internationales ont longtemps été ignorées dans le combat environnemental.

Les États membres de l'ONU ont adopté lundi 19 juin le premier traité international pour protéger la haute mer, un accord capital pour contrecarrer les menaces qui pèsent sur l'océan et sa bonne santé, vitale aussi pour l'humanité. «L'accord est adopté», a déclaré la présidente de la conférence Rena Lee sous les applaudissements, après l'adoption par consensus. «L'océan est la force vitale de notre planète. Aujourd'hui, vous avez insufflé une nouvelle vie et un nouvel espoir pour que l'océan ait une chance de se battre», a commenté le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, saluant une «réussite historique».

Malgré l'adoption, la Russie a pris ses «distances» du consensus, qualifiant certains éléments du texte «totalement inacceptables». En mars, après plus de quinze années de discussions, dont quatre années de négociations formelles, les États membres avaient enfin réussi à se mettre d'accord, à l'issue de deux nouvelles semaines de négociations marathon, troisième «dernière» session en un an. Le texte, alors gelé sur le fond, a depuis été passé au crible des services juridiques et traduit pour être disponible dans les six langues officielles de l'ONU.

Les glaciers de l'Himalaya fondent à un rythme sans précédent - 2023

Les glaciers de l'Himalaya fondent à un rythme sans précédent en raison du changement climatique et menacent l'approvisionnement en eau de près de deux milliards de personnes, selon une étude scientifique publiée mardi 20 juin. Entre 2011 et 2020, les glaciers ont fondu 65% plus vite que lors de la décennie précédente, indique cette étude de l'International Centre for Integrated Mountain Development (ICIMOD). «Avec le réchauffement, la glace va fondre, c'était prévisible. Mais ce qui est inattendu et très inquiétant, c'est la vitesse», a déclaré à l'AFP l'auteur principal de l'étude, Philippus Wester. «Cela va beaucoup plus vite que ce que nous pensions», a-t-il affirmé.

Les glaciers de la région de l'Hindu Kush et de l'Himalaya sont une source d'eau cruciale pour environ 240 millions d'habitants dans les régions montagneuses, ainsi que pour 1,65 milliard d'autres personnes dans les vallées en contrebas, indique le rapport. Si l'on se base sur les trajectoires d'émissions actuelles, les glaciers pourraient perdre jusqu'à 80% de leur volume actuel d'ici la fin du siècle, a estimé l'ICIMOD, une organisation intergouvernementale basée au Népal et dont les pays membres sont aussi l'Afghanistan, le Bangladesh, le Bhoutan, la Chine, l'Inde, la Birmanie et le Pakistan.