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Bienvenue sur Extinction of Species .ORG

Bienvenue sur Extinction of Species .ORG - le site dédié à sauver les espèces de l'extinction - et dans le processus, à nous sauver nous-mêmes et à sauver la planète Terre ! Merci de nous rejoindre et de participer. Publiez, bloguez, traduisez, apprenez ou enseignez - une fois inscrit, vous pouvez créer votre propre espace personnel sur ce site et écrire ou commenter tout ce que vous aimez. Vous pouvez rejoindre des groupes d'intérêt particulier et vous pouvez contacter d'autres membres publiquement ou en privé. Extinction d'espèces .ORG veut empêcher l'extinction de toutes les espèces et pense que la meilleure façon de sauver la planète est de sauver ses myriades d'espèces. Tant que le tigre, le lion, la baleine, l'ours, le loup, l'oiseau chanteur, le colibri, le panda, le léopard, le jaguar, l'éléphant, le lamantin, le gorille, le rhinocéros, l'aigle, le condor, le babouin, le dauphin, le lion de mer, le phoque, l'hippopotame, le guépard, la montagne le lion, l'ours polaire, la baleine à bosse, le chameau et toutes les autres espèces survivent; alors la planète Terre soutiendra la vie humaine et continuera à nourrir la vie de toutes sortes, races, espèces et génomes.

Le premier traité pour protéger la haute mer adopté à l'ONU - 2023 Juin 19

Représentant plus de 60% des océans, les eaux internationales ont longtemps été ignorées dans le combat environnemental.

Les États membres de l'ONU ont adopté lundi 19 juin le premier traité international pour protéger la haute mer, un accord capital pour contrecarrer les menaces qui pèsent sur l'océan et sa bonne santé, vitale aussi pour l'humanité. «L'accord est adopté», a déclaré la présidente de la conférence Rena Lee sous les applaudissements, après l'adoption par consensus. «L'océan est la force vitale de notre planète. Aujourd'hui, vous avez insufflé une nouvelle vie et un nouvel espoir pour que l'océan ait une chance de se battre», a commenté le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, saluant une «réussite historique».

Malgré l'adoption, la Russie a pris ses «distances» du consensus, qualifiant certains éléments du texte «totalement inacceptables». En mars, après plus de quinze années de discussions, dont quatre années de négociations formelles, les États membres avaient enfin réussi à se mettre d'accord, à l'issue de deux nouvelles semaines de négociations marathon, troisième «dernière» session en un an. Le texte, alors gelé sur le fond, a depuis été passé au crible des services juridiques et traduit pour être disponible dans les six langues officielles de l'ONU.

Les glaciers de l'Himalaya fondent à un rythme sans précédent - 2023

Les glaciers de l'Himalaya fondent à un rythme sans précédent en raison du changement climatique et menacent l'approvisionnement en eau de près de deux milliards de personnes, selon une étude scientifique publiée mardi 20 juin. Entre 2011 et 2020, les glaciers ont fondu 65% plus vite que lors de la décennie précédente, indique cette étude de l'International Centre for Integrated Mountain Development (ICIMOD). «Avec le réchauffement, la glace va fondre, c'était prévisible. Mais ce qui est inattendu et très inquiétant, c'est la vitesse», a déclaré à l'AFP l'auteur principal de l'étude, Philippus Wester. «Cela va beaucoup plus vite que ce que nous pensions», a-t-il affirmé.

Les glaciers de la région de l'Hindu Kush et de l'Himalaya sont une source d'eau cruciale pour environ 240 millions d'habitants dans les régions montagneuses, ainsi que pour 1,65 milliard d'autres personnes dans les vallées en contrebas, indique le rapport. Si l'on se base sur les trajectoires d'émissions actuelles, les glaciers pourraient perdre jusqu'à 80% de leur volume actuel d'ici la fin du siècle, a estimé l'ICIMOD, une organisation intergouvernementale basée au Népal et dont les pays membres sont aussi l'Afghanistan, le Bangladesh, le Bhoutan, la Chine, l'Inde, la Birmanie et le Pakistan.

Une initiative «historique» 2023 pour la restauration de 300.000 kilomètres de rivières d'ici 2030

Une initiative «historique» pour la restauration de 300.000 kilomètres de rivières d'ici 2030

 

Plusieurs pays africains et latino-américains ont lancé une initiative pour la restauration de 300.000 kilomètres de rivières d'ici 2030, lors de la conférence onusienne sur l'eau, à New York, le 23 mars 2023.

Plusieurs pays d'Afrique et d'Amérique latine ont lancé jeudi 23 mars une initiative «historique» visant à restaurer 300.000 kilomètres de rivières d'ici 2030 ainsi que des lacs et des zones humides, dégradés par les activités humaines.

Ce «défi pour l'eau douce», mené par une coalition de gouvernements qui inclut notamment la Colombie, la République démocratique du Congo, le Mexique ou le Gabon, a pour objectif de restaurer, d'ici 2030, 300.000 kilomètres de rivières, soit environ «sept fois le tour de la Terre», et 350 millions d'hectares de zones humides, soit à peu près la superficie de l'Inde, ont annoncé dans un communiqué l'ONU et plusieurs autres acteurs lors de la Conférence de l'ONU sur l'eau à New York.

Jour du dépassement 28 julliet 2022: l'humanité a consommé tout ce que la planète peut produire en un an sans s'épuiser

Overpopulation and overpollution - like in China, above, is Killing the Planet and causing Extinction of Species
Overpopulation and overpollution - like in China, above, is Killing the Planet and causing Extinction of Species

Overpopulation and overpollution - like in China, above, is Killing the Planet and causing Extinction of Species

Global Footprint Network et WWF avertissent que jusqu'à la fin de l'année, notre consommation va consister à «grignoter le capital naturel de la planète».

Jeudi 28 juillet, l'humanité aura consommé l'ensemble ce que la planète peut produire en un an sans s'épuiser et elle vivra le reste de l'année à crédit, ont averti les ONG Global Footprint Network et WWF.

Pour le dire de façon imagée, il faudrait 1,75 Terre pour subvenir aux besoins de la population mondiale de façon durable, selon cet indicateur créé par des chercheurs au début des années 1990, et qui ne cesse de s'aggraver.

Des milliards de personnes à travers le monde dépendent des espèces sauvages, selon un rapport de l'ONU

Des milliards de personnes à travers le monde dépendent des espèces sauvages, selon un rapport de l'ONU - 2022

La surexploitation d'espèces sauvages - animaux terrestres, poissons, algues, champignons, plantes ou encore arbres- menace le bien-être de milliards d'êtres humains, dévoile vendredi 8 juillet un rapport de l'ONU, qui donne des pistes pour un usage plus durable et met en valeur les savoirs des peuples autochtones.

Des milliards de personnes dans le monde, aussi bien dans les pays développés qu'en développement, «dépendent et bénéficient de l'utilisation d'espèces sauvages pour leur alimentation, la médecine, l'énergie, leurs revenus et à beaucoup d'autres fins», relèvent les experts biodiversité de l'ONU, l'IPBES.

En 2019, l'IPBES révélait dans une évaluation mondiale qu'un million d'espèces étaient menacées d'extinction, une des principales raisons étant leur exploitation par les humains. Dans ce nouveau rapport, 85 experts des sciences sociales et naturelles et des tenants de savoirs locaux et indigènes ont passé en revue 6200 sources.

La crise de la biodiversité.

La crise de la biodiversité.

On pense que la perte d'espèces et d'habitats présente autant de danger pour la vie sur Terre que le réchauffement climatique. L'ONU avertit qu'un million d'espèces végétales et animales sont menacées d'extinction dans les prochaines décennies à moins qu'une action rapide ne soit entreprise maintenant.

L'extinction fait partie du processus évolutif - certaines espèces meurent à mesure que d'autres évoluent. Le problème est que les espèces disparaissent actuellement beaucoup plus rapidement que d'habitude dans l'histoire de l'évolution. Les scientifiques estiment que l'extinction des espèces se produit entre 1 000 et 10 000 fois plus rapidement que le "taux de fond" normal. Ils avertissent que le monde connaît un événement d'extinction d'une ampleur comparable à la catastrophe qui a vu les dinosaures anéantis.

Cela est important car la biodiversité sous-tend une grande partie du fonctionnement du monde naturel - de la nourriture que nous mangeons à l'air que nous respirons et à l'eau que nous buvons. Il nous aide également à nous protéger de la pollution, des inondations et de la dégradation du climat.

Mais les négociations de l'ONU pour endiguer la vague d'extinctions à Genève au début de cette année se sont soldées par une impasse. Cette semaine, les délégués se réunissent à Nairobi pour tenter de relancer les pourparlers. L'objectif est de convenir de 21 objectifs, dont la protection d'au moins 30 % des terres et des mers du monde d'ici 2030.

Il ne reste que 10 marsouins du Pacifique. Mais sauver l'espèce est encore possible

On les croyait condamnés à l'extinction : les marsouins du Pacifique sont aujourd'hui l'espèce de mammifères marins la plus menacée. Et pour cause, les scientifiques estiment qu'il n'en reste que dix environ dans les eaux du golfe de Californie.

Les scientifiques estiment qu'il ne reste qu'environ dix marsouins du Pacifique dans les eaux du golfe de Californie.

Face à ce constat, beaucoup estimaient que cet animal ne pourrait jamais s'en remettre. En cause, la consanguinité forcée des futures progénitures. Mais cette théorie est aujourd'hui contredite par une nouvelle étude, publiée jeudi dans la prestigieuse revue Science. Malgré leur faible nombre, les marsouins ne sont pas voués à disparaître pour des raisons génétiques, assure-t-elle. Du moins à une condition: que les pratiques de pêche à l'origine de leur déclin cessent complètement.

«Nous essayons d'aller à l'encontre de cette idée qu'il n'y a aucun espoir, qu'il n'y a rien que nous puissions faire pour les sauver», a déclaré à l'AFP Jacqueline Robinson, auteure principale de l'étude et chercheuse à l'Université de Californie à San Francisco. La campagne pour la survie de cette espèce mobilise notamment l'acteur Leonardo di Caprio, et est devenue un enjeu diplomatique, les États-Unis faisant pression sur le Mexique.

Le rapport 2012 "Planète vivante" publié par WWF s'inquiète du tarissement des ressources naturelles d'ici à 2030

Trop de consommation, des ressources naturelles surexploitées et une population de plus en plus nombreuse mettent la planète Terre en danger, selon le rapport 2012 Planète vivante publié mardi par le WWF (World Wide Fund for Nature), quelques semaines avant le sommet de Rio. Ce rapport, publié tous les deux ans, a été formellement lancé par l'astronaute hollandais André Kuipers, qui tourne autour de la terre à bord de la Station spatiale internationale (ISS). "Nous n'avons qu'une Terre, de l'ISS, je peux voir l'empreinte de l'humanité sur la planète ; nous exerçons une pression insoutenable sur notre planète et pourtant nous devons sauver notre seule maison", a-t-il déclaré. Selon Jim Leape, directeur général de WWF International, dont le siège est à Gland (Suisse), le monde "vit comme si nous avions une planète supplémentaire à disposition. Nous utilisons 50 % de plus de ressources que la Terre ne peut en produire de manière durable, et si rien ne change, d'ici l'an 2030, même deux planètes supplémentaires n'y suffiront pas". "Ce rapport est comme un check-up de la planète, et les résultats montrent que notre planète est très malade", a indiqué pour sa part Jonathan Baillie, de la Société zoologique de Londres, co-auteur du rapport. "Ignorer ce diagnostic aurait des conséquences majeures pour l'humanité, nous pouvons rétablir la santé de la planète, mais seulement en nous attaquant aux racines du mal : la croissance de la population et la surconsommation", a-t-il ajouté.
 

Les espèces du monde entier face à la sixième extinction massive

Avec les espèces du monde face à la sixième extinction massive, les efforts de conservation sont en cours pour protéger et préserver les espèces le plus grand nombre que possible. Mais sur quelles espèces 'devrait se concentrer les efforts de conservation? Dr David Jablonski, Professeur à l'Université de Chicago, explique comment ses recherches indiquent que le risque d'extinction n'est pas répartie uniformément à travers les espèces, mais plutôt agglomérées dans le groupe évolutif lié, ce qui a de profondes implications pour les efforts de conservation.

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